EL FUNDAMENTO DE LA FE ES EL NOMBRE DE JESUS MEDIANTE EL CUAL SOMOS CONSTITUIDOS HIJOS DE DIOS - San Bernardino de Siena
EL SANTISIMO NOMBRE DE JESUS
El Santísimo Nombre de Jesús, invocado por los fieles desde los comienzos de la Iglesia, comenzó a servenerado en las celebraciones litúrgicas en el sigloXIV. San Bernardino de Siena y sus discípulos propagaron el culto al Nombre de Jesús: "Yahweh es salvación" con el monograma del Santo Nombre: IHS (abreviación del nombre de Jesús en Griego, ιησουσ, y añadiendo el nombre de Jesús al Ave María. Como fiesta litúrgica fueintroducida en el siglo XVI. En 1530 el PapaClemente VII concedió por vez primera a la OrdenFranciscana la celebración del Oficio del SantísimoNombre de Jesús.
EL FUNDAMENTO DE LA FEES EL NOMBRE DE JESUS MEDIANTE EL CUAL SOMOS CONSTITUIDOS HIJOS DE DIOS - San Bernardino de Siena
El Santísimo Nombre de Jesús, invocado por los fieles desde los comienzos de la Iglesia, comenzó a servenerado en las celebraciones litúrgicas en el sigloXIV. San Bernardino de Siena y sus discípulos propagaron el culto al Nombre de Jesús: "Yahweh es salvación" con el monograma del Santo Nombre: IHS (abreviación del nombre de Jesús en Griego, ιησουσ, y añadiendo el nombre de Jesús al Ave María. Como fiesta litúrgica fueintroducida en el siglo XVI. En 1530 el PapaClemente VII concedió por vez primera a la OrdenFranciscana la celebración del Oficio del SantísimoNombre de Jesús.
EL FUNDAMENTO DE LA FEES EL NOMBRE DE JESUS MEDIANTE EL CUAL SOMOS CONSTITUIDOS HIJOS DE DIOS - San Bernardino de Siena
Éste es aquel santísimo nombre anhelado por los patriarcas, esperado con ansiedad , demandado con gemidos, invocado con suspiros, requerido con lagrimas, donado al llegar la plenitud de la gracia. No pienses en un nombre de poder, menos en uno de venganza, sino de salvación. Su nombre es misericordia, es perdón. Que el nombre de Jesús resuene en mis oídos, porque su voz es dulce y su rostro bello. No dudes, el nombre de Jesús es fundamento de la fe, mediante le cual somos constituidos hijos de Dios. La fe de la religión católica consiste en el conocimiento de Cristo Jesús y de su persona, que el luz del alma, franquicia de la vida, piedra de salvación eterna. Quien no llegó a conocerle o le abandonó camina por la vida en tinieblas, y va a ciegas con inminente riesgo de caer en el precipicio, y cuanto más se apoye en la humana inteligencia, tanto más se servirá de un lazarillo también ciego, al pretender escalar los recónditos secretos celestiales con sólo la sabiduría del propio entendimiento, y no será difícil que le acontezca, por descuidar los materiales sólidos, construir la casa en vano, y, por olvidar la puerta de entrada, pretenda luego entra a ella por el tejado. No hay otro fundamento fuera de Jesús, luz y puerta, guía de los descarriados, lumbrera de la fe para todos los hombres, único medio para encontrar de nuevo al Dios indulgente, y, una vez encontrado, fiarse de él; y poseído, disfrutarle. Esta base sostiene la Iglesia, fundamentada en el nombre de Jesús. El nombre de Jesús es el brillo de los predicadores, porque de Él les viene la claridad luminosa, la validez de su mensaje y la aceptación de su palabra por los demás. ¿De dónde piensas que procede tanto esplendor y que tan rápidamente se haya propagado la fe por todo el mundo, sino por haber predicado a Jesús? ¿Acaso no por la luz y dulzura de este nombre, por el que Dios nos llamó y condujo a su gloria? Con razón el Apóstol, a los elegidos y predestinados por este nombre luminoso, les dice: en otro tiempo fuisteis tinieblas, mas ahora sois luz en el Señor. Caminad como hijo de la luz. ¡Oh nombre glorioso, nombre regalado, nombre amoroso y santo! Por ti las culpas se borran, los enemigos huyen vencidos, los enfermos sanan, los atribulados y tentados se robustecen, y se sienten gozosos todos. Tú eres la honra de los creyentes, tú el maestro de los predicadores, tú la fuerza de los que trabajan, tú el valor de los débiles. Con el fuego de tu ardor y de tu celo se enardecen los ánimos, crecen los deseos, se obtienen los favores, las almas contemplativas se extasían; por ti, en definitiva, todos los bienaventurados del cielo son glorificados. Haz, dulcísimo Jesús, que también nosotros reinemos con ello por la fuerza de tu santísimo nombre. San Bernardino de Siena |
Regreso a la página principal
www.corazones.org
LES MERVEILLES DU SAINT NOM
LES MERVEILLES DU SAINT NOM
Nous entendons répéter depuis notre enfance le saint nom de Jésus, mais hélas, nombreux, trop nombreux sont ceux qui n'ont pas une juste idée des grandes merveilles de ce saint nom!
Que connaissez-vous, cher lecteur, du nom de Jésus? Vous savez que ce nom et saint et que vous devez vous incliner avec révérence en le disant. C'est très peu. C'est comme si vous regardiez un livre fermé en jetant un rapide coup d'œil sur le titre de la couverture. Vous ne savez rien des merveilleuses pensées qu'il contient.
Même lorsque vous prononcez le nom de Jésus vous connaissez très peu les trésors qu'il renferme.
Ce nom divin est en vérité une mine de richesses; il est la source de la sainteté la plus élevée et le secret du plus grand bonheur que l'homme puisse espérer connaître sur cette terre. Lisez et voyez.
Il est si puissant, si assuré, qu'il ne manque jamais de produire dans notre âme les plus merveilleux effets. Il console le cœur le plus affligé et rend fort le pécheur le plus faible. Il nous obtient toutes sortes de faveurs et de grâces, spirituelles et temporelles.
Il y a deux choses que nous devons faire. Premièrement, nous devons clairement comprendre le sens et la valeur du nom de Jésus.
Deuxièmement, nous devons prendre l'habitude de le dire avec dévotion, fréquemment, des centaines et des centaines de fois chaque jour. Loin de devenir un fardeau, cela nous procurera une joie et une consolation immenses.
Le Saint Nom de Jésus
:HS3.Année de la foi: Saint Nom de Jésus – 2 janvier
« Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur »
Le 2 janvier, l’Eglise fête le saint Nom de Jésus. Dans la tradition biblique, le nom désigne la personne et donc indique son mystère, sa mission ; Dieu Lui-même donne un nom à ceux qu’Il envoie pour une mission particulière, ainsi de Jacob devenu Israël ou du Prince des Apôtres, Simon, appelé Pierre.
Les Noms de Jésus
+ Jésus :
430 Jésus veut dire en hébreu : “ Dieu sauve ”. Lors de l’Annonciation, l’ange Gabriel lui donne comme nom propre le nom de Jésus qui exprime à la fois son identité et sa mission (cf. Lc 1, 31). Puisque “ Dieu seul peut remettre les péchés ” (Mc 2, 7), c’est lui qui, en Jésus, son Fils éternel fait homme “ sauvera son peuple de ses péchés ” (Mt 1, 21).
431 Dans l’histoire du salut, Dieu ne s’est pas contenté de délivrer Israël de “ la maison de servitude ” (Dt 5, 6) en le faisant sortir d’Égypte. Il le sauve encore de son péché. Parce que le péché est toujours une offense faite à Dieu (cf. Ps 51, 6), c’est Lui seul qui peut l’absoudre (cf. Ps 51, 12).
432 Le nom de Jésus signifie que le nom même de Dieu est présent en la personne de son Fils (cf. Ac 5, 41 ; 3 Jn 7) fait homme pour la rédemption universelle et définitive des péchés. Il est le nom divin qui seul apporte le salut (cf. Jn 3, 5 ; Ac 2, 21) : …“ il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donné aux hommes par lequel nous puissions être sauvés ” (Ac 4, 12 ; cf. Ac 9, 14 ; Jc 2, 7).
434 La Résurrection de Jésus glorifie le nom du Dieu Sauveur (cf. Jn 12, 28) car désormais, c’est le nom de Jésus qui manifeste en plénitude la puissance suprême du “ nom au-dessus de tout nom ” (Ph 2, 9-10). Les esprits mauvais craignent son nom (cf. Ac 16, 16-18 ; 19, 13-16) et c’est en son nom que les disciples de Jésus font des miracles (cf. Mc 16, 17), car tout ce qu’ils demandent au Père en son nom, celui-ci le leur accorde (Jn 15, 16).
+ Christ :
453 Le nom de Christ signifie “ oint ”, “ Messie ”. Jésus est le Christ car “ Dieu L’a oint de l’Esprit Saint et de puissance ” (Ac 10, 38). Il était “ celui qui doit venir ” (Lc 7, 19), l’objet de “ l’espérance d’Israël ” (Ac 28, 20).
436 Christ vient de la traduction grecque du terme hébreu “ Messie ” qui veut dire “ oint ”. Il ne devient le nom propre de Jésus que parce que celui-ci accomplit parfaitement la mission divine qu’il signifie. En effet en Israël étaient oints au nom de Dieu ceux qui lui étaient consacrés pour une mission venant de lui. Le Messie devait être oint par l’Esprit du Seigneur (cf. Is 11, 2) à la fois comme roi et prêtre (cf. Za 4, 14 ; 6, 13) mais aussi comme prophète (cf. Is 61, 1 ; Lc 4, 16-21). Jésus a accompli l’espérance messianique d’Israël dans sa triple fonction de prêtre, de prophète et de roi.
+ Fils de Dieu :
454 Le nom de Fils de Dieu signifie la relation unique et éternelle de Jésus-Christ à Dieu son Père : Il est le Fils unique du Père (cf. Jn 1, 14. 18 ; 3, 16. 18) et Dieu lui-même (cf. Jn 1, 1). Croire que Jésus-Christ est le Fils de Dieu est nécessaire pour être chrétien (cf. Ac 8, 37 ; 1 Jn 2, 23).
441 Fils de Dieu, dans l’Ancien Testament, est un titre donné aux anges, au peuple de l’Élection, aux enfants d’Israël et à leurs rois. Il signifie alors une filiation adoptive qui établit entre Dieu et sa créature des relations d’une intimité particulière. Quand le Roi-Messie promis est dit “ fils de Dieu ” (cf. 1 Ch 17, 13 ; Ps 2, 7), cela n’implique pas nécessairement, selon le sens littéral de ces textes, qu’il soit plus qu’humain. Ceux qui ont désigné ainsi Jésus en tant que Messie d’Israël (cf. Mt 27, 54) n’ont peut-être pas voulu dire davantage (cf. Lc 23, 47).
442 Il n’en va pas de même pour Pierre quand il confesse Jésus comme “ le Christ, le Fils du Dieu vivant ” (Mt 16, 16) car celui-ci lui répond avec solennité : “ Cette révélation ne t’est pas venue de la chair et du sang mais de mon Père qui est dans les cieux ” (Mt 16, 17). Parallèlement Paul, (après) sa conversion sur le chemin de Damas : “ Aussitôt il se mit à prêcher Jésus, proclamant qu’il est le Fils de Dieu ” (Ac 9, 20). Ce sera dès le début (cf. 1 Th 1, 10) le centre de la foi apostolique (cf. Jn 20, 31) professée d’abord par Pierre comme fondement de l’Église (cf. Mt 16, 18).
443 Si Pierre a pu reconnaître le caractère transcendant de la filiation divine de Jésus Messie, c’est que celui-ci l’a nettement laissé entendre. Devant le Sanhédrin, à la demande de ses accusateurs : “ Tu es donc le Fils de Dieu ”, Jésus a répondu : “ Vous le dites bien, je le suis ” (Lc 22, 70). Bien avant déjà, Il s’est désigné comme “ le Fils ” qui connaît le Père (cf. Mt 11, 27 ; 21, 37-38), qui est distinct des “ serviteurs ” que Dieu a auparavant envoyés à son peuple (cf. Mt 21, 34-36), supérieur aux anges eux-mêmes (cf. Mt 24, 36). Il a distingué sa filiation de celle de ses disciples en ne disant jamais “ notre Père ” (cf. Mt 5, 48 ; 6, 8 ; 7, 21) sauf pour leur ordonner “ vous donc priez ainsi : Notre Père ” (Mt 6, 9) ; et il a souligné cette distinction : “ Mon Père et votre Père ” (Jn 20, 17).
444 Jésus se désigne Lui-même comme “ le Fils Unique de Dieu ” (Jn 3, 16) et affirme par ce titre sa préexistence éternelle (cf. Jn 10, 36). Il demande la foi “ au nom du Fils unique de Dieu ” (Jn 3, 18). Cette confession chrétienne apparaît déjà dans l’exclamation du centurion face à Jésus en croix : “ Vraiment cet homme était Fils de Dieu ” (Mc 15, 39). Dans le mystère pascal seulement le croyant peut donner sa portée ultime au titre de “ Fils de Dieu ”.
+ Seigneur :
455 Le nom de Seigneur signifie la souveraineté divine. Confesser ou invoquer Jésus comme Seigneur, c’est croire en sa divinité. “ Nul ne peut dire ‘Jésus est Seigneur’ s’il n’est avec l’Esprit Saint ” (1 Co 12, 3).
446 Dans la traduction grecque des livres de l’Ancien Testament, le nom ineffable sous lequel Dieu s’est révélé à Moïse (cf. Ex 3, 14), YHWH, est rendu par Kyrios (“ Seigneur ”). Seigneur devient dès lors le nom le plus habituel pour désigner la divinité même du Dieu d’Israël. C’est dans ce sens fort que le Nouveau Testament utilise le titre de “ Seigneur ” à la fois pour le Père, mais aussi, et c’est là la nouveauté, pour Jésus reconnu ainsi comme Dieu lui-même (cf. 1 Co 2, 8).
447 Jésus lui-même s’attribue de façon voilée ce titre lorsqu’il discute avec les Pharisiens sur le sens du Psaume 109 (cf. Mt 22, 41-46), mais aussi de manière explicite en s’adressant à ses apôtres (cf. Jn 13, 13). Tout au long de sa vie publique ses gestes de domination sur la nature, sur les maladies, sur les démons, sur la mort et le péché, démontraient sa souveraineté divine.
449 En attribuant à Jésus le titre divin de Seigneur, les premières confessions de foi de l’Église affirment, dès l’origine (cf. Ac 2, 34-36), que le pouvoir, l’honneur et la gloire dus à Dieu le Père conviennent aussi à Jésus (cf. Rm 9, 5 ; Tt 2, 13 ; Ap 5, 13) parce qu’il est de “ condition divine ” (Ph 2, 6) et que le Père a manifesté cette souveraineté de Jésus en le ressuscitant des morts et en l’exaltant dans sa gloire (cf. Rm 10, 9 ; 1 Co 12, 3 ; Ph 2, 11).
Respecter le Nom de Dieu
+ Le nom du Seigneur est saint :
2161 Le deuxième commandement prescrit de respecter le nom du Seigneur.
2143 “ Le nom du Seigneur est saint ”. C’est pourquoi l’homme ne peut en abuser. Il doit le garder en mémoire dans un silence d’adoration aimante (cf. Za 2, 17). Il ne le fera intervenir dans ses propres paroles que pour le bénir, le louer et le glorifier (cf. Ps 29, 2 ; 96, 2 ; 113, 1-2).
2144 La déférence à l’égard de son Nom exprime celle qui est due au mystère de Dieu lui-même et à toute la réalité sacrée qu’il évoque. Le sens du sacré relève de la vertu de religion.
+ Les péchés contre le deuxième commandement :
2162 Le second commandement interdit tout usage inconvenant du Nom de Dieu. Le blasphème consiste à user du Nom de Dieu, de Jésus-Christ, de la Vierge Marie et des saints d’une façon injurieuse.
2148 Il est encore blasphématoire de recourir au nom de Dieu pour couvrir des pratiques criminelles, réduire des peuples en servitude, torturer ou mettre à mort. L’abus du nom de Dieu pour commettre un crime provoque le rejet de la religion. Le blasphème est contraire au respect dû à Dieu et à son saint nom. Il est de soi un péché grave (cf. CIC, can. 1369).
2149 Les jurons, qui font intervenir le nom de Dieu, sans intention de blasphème, sont un manque de respect envers le Seigneur. Le second commandement interdit aussi l’usage magique du Nom divin.
2150 Le deuxième commandement proscrit le faux serment. Faire serment ou jurer, c’est prendre Dieu à témoin de ce que l’on affirme. C’est invoquer la véracité divine en gage de sa propre véracité. Le serment engage le nom du Seigneur.
2154 “ Le serment, c’est-à-dire l’énonciation du Nom divin comme témoin de la vérité, ne peut être porté qu’en vérité, avec discernement et selon la justice ” (CIC, can. 1199, § 1).
2164 “ Ne jurer ni par le Créateur, ni par la créature, si ce n’est avec vérité, nécessité et révérence ” (S. Ignace, ex. spir. 38).
2163 Le parjure est un manquement grave envers le Seigneur, toujours fidèle à ses promesses.
Pour aller plus loin :
Catéchisme de l’Eglise Catholique, Ire partie, 2e section, ch. 2, art. 2 : Et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur : http://www.vatican.va/archive/FRA00… et IIIe partie, 2e section, ch. 1, art. 2 : Le deuxième commandement : http://www.vatican.va/archive/FRA00…
Résolution pratique :
« Le nom de Jésus est au cœur de la prière chrétienne. Toutes les oraisons liturgiques se concluent par la formule “ par notre Seigneur Jésus-Christ ”. Le “ Je vous salue, Marie ” culmine dans “ et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni ”. La prière du cœur orientale appelée “ prière à Jésus ” dit : “ Jésus-Christ, Fils de Dieu, Seigneur, prends pitié de moi pécheur ”. De nombreux chrétiens meurent en ayant, comme sainte Jeanne d’Arc, le seul mot de “ Jésus ” aux lèvres » (435)
Réciter les litanies du Saint Nom de Jésus : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/b…
——————————————————————————–
www.nd-chretiente.com
Dos Sermões de São Bernardino de Sena sobre o Santíssimo Nome de Jesus
São Bernardino e o Santíssimo Nome de Jesus
São Bernardino de Sena, como todos os grandes pregadores, não estavam a ensinar algo novo, mas lembrar aos seus ouvintes o que eles já deveriam ter plena consciência. Ao pregar, ele costumava segurar uma pequena prancheta de madeira, na qual o monograma IHS que ele privilegiava, era circundado por doze raios de luz, e ele encorajava “cada joelho a se dobrar” perante o monograma. A devoção ao Nome Santo espalhou-se pela Europa com rapidez surpreendente. Em 1432, o Papa Eugénio IV emitiu uma Bula promovendo a devoção ao símbolo IHS escrito.
A devoção popular levou à composição de um Ofício do Nome Santo, e ao estabelecimento de um dia comemorativo. Em Camaiore di Luca, na Itália, começou-se a celebrar a festa, depois de aprovada para a Ordem dos Franciscanos (1530) e sob o pontificado de Inocêncio XIII (1721), estendida a toda a Igreja.
O dia da festa variou através dos séculos, mas muitos o lembram como o domingo depois do Natal, até 1969, quando foi suprimido. O Santo Padre João Paulo II, na mais recente edição do Missal Romano, restabeleceu a Festa do Santíssimo Nome de Jesus no dia 3 de Janeiro.
Dos Sermões de São Bernardino de Sena sobre o Santíssimo Nome de Jesus
(Sec. XV)
O nome de Jesus, luz dos pregadores
(Sermão 49, sobre o glorioso Nome de Jesus, cap. 2: Opera omnia 4, 505-506)
O nome de Jesus é a luz dos pregadores, porque ilumina com o seu esplendor os que anunciam e os que ouvem a sua palavra. Qual é a razão por que se difundiu a luz da fé por todo o mundo tão rápida e ardentemente, senão porque foi pregado este nome? Não foi também pela luz e suavidade do nome de Jesus que Deus nos chamou à sua luz admirável?(1Pd 2,9). Com razão diz o Apóstolo aos que foram iluminados e nesta luz vêem a luz: Outrora fostes trevas, mas agora sois luz no Senhor: vivei como filhos da luz (Ef 5,8).
Portanto, necessário, por conseguinte, anunciar este nome, para que a sua luz não fique oculta mas resplandeça. Mas não deve ser pregado com o coração impuro ou com a boca profanada; tem de ser guardado e distribuído por meio de uma taça preciosa.
Por isso, diz o Senhor, referindo-se ao Apóstolo: Este homem é para mim a taça escolhida para levar o meu nome perante os gentios, os reis e os filhos de Israel (cf. At 9,15). Uma taça escolhida, diz o Senhor, onde se expõe uma inestimável bebida de agradável sabor, para que o brilho e esplendor das taças preciosas convide a beber: para levar – acrescenta – o meu nome.
Com efeito, assim como para limpar os campos se queimam com o fogo as silvas e os espinheiros secos e inúteis, e assim como aos primeiros raios do sol nascente, à medida que se vão dissipando as trevas, se escondem os ladrões, os meliantes nocturnos e os salteadores, assim também quando a boca de Paulo pregava aos povos – semelhante ao ribombar de forte trovão ou ao irromper de um incêndio avassalador ou ao esplendoroso nascer do sol – extinguia-se a infidelidade, desaparecia a falsidade e resplandecia a verdade, à semelhança da cera que se derrete ao calor de um fogo ardente.
Ele levava a toda a parte o nome de Jesus com suas palavras, com suas cartas, com seus milagres e com seu exemplo. Bendizia sempre o nome de Jesus e cantava-lhe hinos de acção de graças (Eclo 51,15; Ef 5,19-20).
O Apóstolo apresentava este nome como uma luz perante os reis, os gentios e os filhos de Israel e iluminava as nações e proclamava por toda a parte: A noite vai adiantada e aproxima-se o dia. Abandonemos as obras das trevas e revistamo-nos com as armas da luz. Andemos dignamente como convém em pleno dia (Rm 13,12-13). E mostrava a todos a lâmpada que arde e ilumina sobre o candelabro, anunciando em todo o lugar a Jesus crucificado (1Cor 2,2).
Por isso, a Igreja, esposa de Cristo, sempre fortalecida pelo seu testemunho, rejubila com o Profeta, dizendo: Desde a juventude, ó Deus, Vós me ensinastes, e até hoje e sempre anuncio as vossas maravilhas (Sl 70,17). A isto exorta também o Profeta, dizendo: Cantai ao Senhor e bendizei o seu nome, anunciai dia após dia a sua salvação (Sl 95,2), isto é, Jesus, o Salvador.
Bem mais antiga do que a devoção franciscana ao Nome de Jesus é a prática da “Invocação” contínua deste Nome. Ela remonta aos tempos da antiguidade cristã e especificamente ao hesicasmo.
O Nome de Jesus, solida base da fé, suscita filhos de Deus
(Da Obra De Evangelio Aeterno, de São Bernardino de Sena. Sermo 49, art. 1: Opera Omnia, IV, p.495s)
“Nome santíssimo, tão desejado pelos antigos patriarcas, esperado com tamanha ansiedade, repetidas vezes protelado, invocado com muitos suspiros, suplicado entre copiosas lágrimas, concebido com misericórdia no tempo da graça. Omita-se qualquer denominação de poder, não se fale de reivindicação, retenha-se o nome de justiça. Dá-nos o nome de misericórdia, soe o nome de Jesus aos meus ouvidos, e então, sim, tua voz será suave, belo o teu rosto.
O nome de Jesus, sólida base de fé, suscita filhos de Deus. A fé da religião católica consiste no conhecimento da salvação eterna. Quem não tiver tal fé ou abondoná-la, caminha às escuras nas trevas da noite, precipita-se de olhos fechados no meio dos perigos e, por mais que brilhe a grandeza de seu entendimento, acompanha um guia cego porque segue o próprio intelecto, à busca de compreender os segredos celestes. Ou tenta construir casa sem alicerces, ou ainda deixa a porta e quer entrar pelo teto. A base, pois, é Jesus, luz e porta, o qual, a fim de mostrar o caminho aos errantes, manifestou a todos a luz da fe, que torna possível procurar o Deus desconhecido, crer no que foi procurado, encontrar quele em que se acreditou Este fundamento sustenta a Igreja, edificada sobre o nome de Jesus. O nome de Jesus é esplendor dos pregadores, visto que por luminoso fulgou anuncia e faz com que seja ouvida a sua palavra. De onde vem a todo o mundo a luz da fé, tão grande, súbita e ardente, senão do anúncio de Jesus? Acaso Deus não chamou à sua luz admirável por intermédieo da claridade e do sabor deste nome? Assim iluminados, e vendo nesta luz a luz, diga com razão o Apóstolo: “Outrora éreis trevas, mas agora sois luz no Senhor; comportai-vos como verdadeiras luzes” (Ef 5,8).
Ó nome glorioso, nome grato, nome amante e virtuoso! Por ti perdoam-se os crimes, por ti são superados os adversários, por ti os enfermos são curados, por ti os que sofrem adversidades se fortificam e se alegram! Honra dos fiéis, doutor dos pregadores, robusteces os trabalham, sustentas os que fraquejam. Em teu ígneo fervor e em teu calor inflam-se os desejos, impetram-se os sufrágios pedidos, inibriam-se as almas que contemplam e gloricam-se todos que triunfam na celeste glória. Por este santíssimo nome, dulcissimo Jesus, faze-nos reinar em sua companhia”.
... ... ...
Bem mais antiga do que a devoção franciscana ao Nome de Jesus é a prática da “Invocação” contínua deste Nome. Ela remonta aos tempos da antiguidade cristã e especificamente ao hesicasmo.
fonte02 de Janeiro - Festa do Santíssimo Nome de Jesus
A Igreja revela-nos as grandezas do Verbo incarnado, cantando as glórias do Seu Nome.
Era por ocasião do rito da circuncisão que os Judeus impunham o nome aos filhos; por isso a Igreja vai buscar hoje o Evangelho da festa da Circuncisão fazendo realçar as ultimas palavras: "e foi-Lhe dado o nome de Jesus, nome que já o Anjo Lhe havia dado antes de ser concebido no seio da Virgem". O nome de Jesus significa Salvador, e diz São Pedro, que não foi dado aos homens outro Nome, pelo qual nos possamos salvar (Ep.).
É ao Nome de Jesus, diz São Bernardo, que os coxos andam, que os cegos vêem e que os surdos ouvem. A pregação do nome de Deus é a luz do mundo, o unguento que unge, reconforta e sustenta (Matinas). O Nome de Jesus "é mel para os lábios, melodia para os ouvidos e alegria do coração". Que durante a nossa vida ele nunca nos saia dos lábios para termos um dia a alegria de vermos o nosso junto ao dEle inscrito no Ceu. (Depois da C.).
As primeiras origens desta festa remontam ao século XVI em que era celebrada na Ordem de São Francisco. Em 1721, Inocêncio XIII, estendeu-a ao mundo inteiro.
Read more: http://www.saopiov.org/2012/01/02-de-janeiro-festa-do-santissimo-nome.html#ixzz2GrPsHWxS